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Si le Moyen-Âge nous a laissé un riche héritage de poèmes reflétant les états de l’âme populaire, la Renaissance souvent nous berce de ses poèmes d’amour, raffinés comme les conversations galantes à la Cour. Le français vient d’être promu au rang de langue officielle par François 1er en 1539 et les grands poètes de la Pléiade s’en donnent à cœur joie : c’est un « mille-fleurs » de sonnets, odes et autres complaintes qui se prêtent tout naturellement à un accompagnement musical.

 

Jeanne-Marie Gilbert semble en communion avec cette littérature de « belles dames et de gentilz damoiseaux ». Un plaisir décuplé par d’autres textes provenant de pays voisins, eux aussi en pleine Renaissance.

La verte couleur

18,00 €Prix
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